Conditions générales de vente
L’approche des massages bien-être à pour but de soulager et libérer les tensions musculaires en apportant immédiatement un sentiment de bien-être physique et psychologique. Les effets pouvant durer plusieurs jours après la séance.
I –CONDITIONS DE RESERVATION
Sur le site de PLANITY, 25 % d’acompte lors de la réservation vous sera demandé
en réservant en ligne.
II –DÉROULEMENT DE LA SÉANCE
Les séances se dérouleront au 264 rue Bernard Bordier à Longueil-Annel.
Les séances seront définies du lundi au vendredi de 9h à 18h et le samedi de 10h à 12h.
Un questionnaire sur l’état de santé du client sera demandé avant d’effectuer les soins. Ce questionnaire à pour but d’identifier les antécédents médicaux de la personne afin de prodiguer les soins sans éventuelle contre-indications.
Plusieurs techniques peuvent être utilisé pendant le soin et varie selon les demandes du client.
III –PRÉCAUTION ET CONTRE INDICATONS
Les massages sont contre-indiqués dans les cas suivants : état fiévreux, hémophilie, phlébite, hypertension artérielle sévère, douleur aiguë, inflammation, blessure, opération chirurgicale ou grossesse de moins de 3 mois.
Par précautions pour les femmes enceintes de plus de 3 mois, les personnes atteintes d’un cancer ou d’un problème cardiaque, un avis médical sera demandé avant toute prestation.
Toute modification du nombre de personnes une fois le devis validé entraînera la révision de ce dernier ou laissera place à un nouveau devis, nos tarifs étant fixés suivant le nombre de personnes.
IV –INFORMATION IMPORTANTES
Il me paraît important de souligner certains points avant votre rendez-vous.
Les soins que je propose n’ont pas une visée médicale mais de bien-être. Même si le massage est d’une certaine manière thérapeutique par le soulagement des tensions qu’il procure, ou encore la possibilité d’un lâcher prise mental bénéfique sur le plan psychologique; il ne se substitue pas à des soins médicaux. De même pour la relaxation et les soins énergétiques, ils sont une aide à votre bien-être et non un traitement.
D’autre part, les soins n’ont aucune connotation sexuelle. Vos parties intimes ne sont pas touchées et le port d’un sous-vêtement est obligatoire pendant votre soin. Toute personne qui m’importunerait en ce sens, fera l’objet de poursuite judiciaire.
Je me réserve le droit de refuser toute personne ayant un comportement qui me paraît être inapproprié.
V –HYGIÈNE ET SÉCURITÉ
La santé et la sécurité des clients sont ma priorité. Chez JS Coaching, je mets en place des mesures d’hygiène et de sécurité rigoureuses pour assurer un environnement propre et sécurisé. Voici quelques-unes des principales règles et procédures que je suis :
V-1 Nettoyage et désinfection
Toutes les surfaces du cabinet, y compris les tables de traitement, les poignées de porte et les équipements, sont régulièrement nettoyées et désinfectées avec des produits approuvés par les autorités sanitaires.
Le linge de lit, les serviettes et autres textiles sont lavés et désinfectés après chaque utilisation.
V-2 Nettoyage et désinfection
Je me lave et désinfectent les mains avant et après chaque séance.
V-3 Gestion des symptômes et des maladies
Si vous présentez des symptômes de maladie (fièvre, toux, difficultés respiratoires, etc.) ou si vous avez été en contact avec une personne malade, je vous demanderez de reporter votre rendez-vous ultérieurement.
VI –FIN DE LA SÉANCE
Après la séance il est possible de ressentir quelques engourdissements, une fatigue passagère ou d’autre symptômes qui s’atténue quelques heures après la séance.
Il vous est donc recommandé de boire beaucoup d’eau et de se reposer après une séance afin de profiter un maximum des bienfaits du soin.
Charte éthique et de déontologie du Psychopraticien
Principes éthiques
Le praticien en psychothérapie relationnelle développe une éthique orientée vers ce qu’il estime le plus utile et le plus juste pour l’accomplissement psychique de la personne qui le consulte.
Devoir du psychopraticien :
1 – Respect de la personne et de sa subjectivité.
Le praticien en psychothérapie relationnelle considère la personne qui le consulte comme un sujet unique et libre, ce qui le conduit à respecter sa dignité, son intimité, ses parts inconscientes et leur expression symbolique, son autonomie, ses options philosophiques ou religieuses.
2 – Intégrité du soin.
Le praticien en psychothérapie relationnelle se met au seul service du processus psychothérapique de la personne. Il ne fait rien qui pourrait lui nuire ou qui serait motivé par l’intérêt de tiers ou par des fins personnelles conscientes ou inconscientes autres que celles de la psychothérapie.
3 – Compétence professionnelle.
Le praticien en psychothérapie relationnelle s’autorise de sa compétence acquise par un travail psychothérapique approfondi sur lui-même, par des formations spécialisées de haut niveau, par un questionnement constant de sa pratique et par une coopération avec ses pairs dans le cadre d’instances professionnelles.
4 – Responsabilité.
Le praticien en psychothérapie relationnelle décide seul de ses méthodes et techniques psychothérapiques. Il assume la responsabilité du suivi des personnes envers lesquelles il s’est engagé, dans le respect de la loi et des règles déontologiques de sa profession.
Les clients gardent toute la responsabilité des décisions prises et des actions réalisées.
Le couple est libre de s’approprier les supports et les outils que la coache met en œuvre au cours du coaching.
Cela étant, le couple est prévenu qu’il peut être peu efficace voir risqué d’utiliser certains outils sans formation préalable. La coache dégage toute responsabilité de l’utilisation des supports, techniques, outils et méthodes qui pourra être faite par le client en dehors du cadre du coaching.
La coache est tenue à une obligation de moyens, elle n’est pas tenue à une obligation de résultat. Le coaching est un processus qui s’inscrit dans le temps où la coache permet au couple de faire un cheminement vers leurs objectifs.
Règles déontologiques
Les règles déontologiques forment un contrat de droit privé entre le praticien en psychothérapie relationnelle qui s’engage à les respecter et l’institution professionnelle qui le reconnaît, le cautionne et le défend. Toute personne consultante peut s’y référer.
I – Respect de la personne et de sa subjectivité
I-1 Respect des droits de la personne
- a) Le praticien en psychothérapie relationnelle respecte la législation sur les droits des personnes, de leur dignité, de leur liberté et de leur protection.
b) Il respecte le principe que nul n’est tenu de révéler quoi que ce soit sur lui-même.
c) Il s’attache à favoriser l’autonomie de la personne qui le consulte. Il respecte son désir et prend acte de son jugement notamment quant à l’arrêt de sa psychothérapie, après que les motifs conscients et inconscients aient été décryptés.
I-2 Respect de la subjectivité de la personne
- a) Le praticien en psychothérapie relationnelle respecte en toutes circonstances l’intégrité et les valeurs propres de la personne qui le consulte dans le contexte du processus de changement.
b) Lorsque l’intervention se déroule dans un cadre de contrainte ou lorsque les capacités de discernement de la personne sont altérées, le praticien en psychothérapie relationnelle s’efforce de réunir les conditions d’une relation respectueuse de la dimension psychique du sujet.
I-3 Devoir de réserve
a) Conscient de la relation très spécifique qui le lie à la personne qui le consulte, le praticien en psychothérapie relationnelle observe une attitude de réserve en toutes circonstances.
b) Conscient du possible impact de ses paroles, il prend garde aux conséquences directes ou indirectes de ses interventions et, entre autres, à l’utilisation qui pourrait en être faite par des tiers.
I-4 Cadre d’exercice
Le praticien en psychothérapie relationnelle pose un ensemble de règles concernant son cadre d’exercice visant à favoriser le processus psychothérapique et protéger la personne qui le consulte. Il respecte et fait respecter ce cadre. Dans ce sens, il respecte l’obligation de non confusion entre le cadre psychothérapique et sa vie privée.
I-5 Secret professionnel
a) Le praticien en psychothérapie relationnelle est soumis aux règles usuelles du secret professionnel qui s’étend à tout ce qu’il a vu, entendu ou compris au cours de sa pratique.
b) Il prend toutes les précautions nécessaires pour préserver l’anonymat et la confidentialité des personnes qui le consultent ou l’ont consulté.
c) En séance collective, il prescrit aux membres du groupe une obligation de secret quant à l’identité des participants et de discrétion sur le déroulement des séances.
d) Les obligations concernant le respect du secret professionnel s’imposent quel que soit le cadre d’exercice.
I-6 Abstinence sexuelle
a) Le praticien en psychothérapie relationnelle s’abstient de toute relation sexuelle avec les personnes qui le consultent ainsi qu’avec ses étudiants en formation et collègues en supervision.
b) Il prescrit un interdit de passage à l’acte sexuel entre les participants durant les séances collectives.
I-7 Sécurité physique et morale
a) Dans le cadre de sa pratique, le praticien en psychothérapie relationnelle instaure une règle de non-violence sur les personnes et les biens.
b) Il veille à ce que ses interventions ou ses conseils ne puissent pas nuire à la sécurité physique et morale des personnes qui le consultent.
c) Dans les séances collectives, il impose des règles de respect des participants et de non-passage à l’acte de la violence.
I-8 Transmission d’informations
a) Si des raisons thérapeutiques nécessitent la collaboration avec une autre personne donnant des soins, le praticien en psychothérapie relationnelle ne peut partager ses informations qu’avec l’accord de la personne qui le consulte.
b) Cet accord est implicitement donné dans un processus de cothérapie où le cothérapeute et les éventuels assistants ou observateurs en formation partagent les obligations du présent code de déontologie.
c) La transmission d’informations ou d’attestations à un tiers pour un usage autre que les soins ne se fait qu’avec discernement et réserve. Le praticien en psychothérapie relationnelle requiert le consentement de l’intéressé, ou informe celui-ci dans les cas de personnes au discernement altéré ou s’il s’agit de mineurs.
d) Lorsqu’il y a obligation légale de signalement, le praticien en psychothérapie relationnelle se doit d’informer la personne qu’il est tenu de se conformer à la loi.
I-9 Informations sur son exercice
a) Toute information du public par quelque moyen que ce soit doit être faite dans une position de réserve et de décence sur la personnalité du praticien en psychothérapie relationnelle, sur la nature des soins qu’il fournit et sur les résultats escomptés de la psychothérapie
.b) Le praticien en psychothérapie relationnelle n’utilise pas les personnes qui le consultent ou l’ont consulté à des fins médiatiques.
II – Intégrité du soin
II-1 Qualité du soin
Dès lors qu’il a établi un contrat thérapeutique avec une personne, le praticien en psychothérapie relationnelle s’engage à lui donner la meilleure qualité de soin psychothérapique.
II-2 Appel à un tiers
A cet effet, et s’il l’estime utile, il fait appel à la collaboration de tiers. Il signale à la personne en psychothérapie la possibilité ou la nécessité de recourir à d’autres compétences en complément ou en relais de ses propres soins.
II-3 Rapport à la médecine
Conscient de la spécificité de la psychothérapie et de celle de la médecine, le praticien en psychothérapie relationnelle invite le cas échéant la personne qui le consulte à s’entourer de toutes les garanties de cette dernière.
II-4 Responsabilité du consultant
Le praticien en psychothérapie relationnelle se doit d’attirer l’attention de la personne qui le consulte sur sa responsabilité propre et sur la nécessité d’une coopération active et permanente de cette dernière.
II-5 Choix du thérapeute
Le praticien en psychothérapie relationnelle respecte et facilite le libre choix de son thérapeute par la personne.
II-6 Changement de thérapeute
Le praticien en psychothérapie relationnelle est conscient des liens spécifiques mis en place par une thérapie précédemment engagée avec un autre praticien de la psychothérapie. Dans le cas d’une consultation en vue de changer de thérapeute, il facilitera l’analyse de la difficulté qui a surgi.
II-7 Interruption d’activité
Dans le cas où le praticien en psychothérapie relationnelle prévoit d’interrompre son activité, il en informe suffisamment d’avance les personnes qui le consultent et prend toutes mesures appropriées aux situations particulières.
II-8 Appartenance
Le fait, pour un praticien en psychothérapie relationnelle, d’adhérer personnellement à des idées politiques, une idéologie, une religion, une spiritualité ou une philosophie, ne saurait l’autoriser à influencer la personne qui le consulte pour autre chose que la psychothérapie.
II-9 Liens personnels
a) Le praticien en psychothérapie relationnelle n’engage pas de psychothérapie avec des personnes auxquelles il est par ailleurs intimement lié.
b) Il n’engage pas de psychothérapie avec des personnes intimement liées entre elles, sauf dans le cadre des psychothérapies du système relationnel (psychothérapies de couple,…).
c) Dans une situation de conflit d’intérêts, il a l’obligation de se récuser.
III – Compétence professionnelle
III-1 Processus psychothérapique personnel
Le praticien en psychothérapie relationnelle est passé lui-même par un processus psychothérapique ou psychanalytique approfondi. Cette démarche personnelle est distincte de sa formation, bien qu’elle y participe fondamentalement.
III-2 Formation professionnelle
Le praticien en psychothérapie relationnelle a validé une formation professionnelle approfondie théorique et pratique apte à créer une compétence de praticien de la psychothérapie relationnelle.
III-3 Contrôle et supervision
Le praticien en psychothérapie relationnelle se maintient dans un système de contrôle ou de supervision de sa pratique par un tiers qualifié.
III-4 Formation continue
Les connaissances et les compétences du praticien en psychothérapie relationnelle doivent faire l’objet d’une constante régénération tout au long de sa carrière.
III-5 Rigueur
a) Les modes d’intervention du praticien en psychothérapie relationnelle se font dans les règles de l’art des méthodes qu’il utilise. Il en connaît les fondements théoriques et pratiques et a expérimenté leurs effets.
b) L’intuition personnelle et la créativité du praticien en psychothérapie relationnelle peuvent s’y ajouter quand elles respectent le cadre posé et ne servent qu’à favoriser le processus psychothérapique.
III-6 Mode de communication
Le praticien en psychothérapie relationnelle privilégie la rencontre en présence effective avant toute autre forme de communication à distance quel que soit le média employé. En cas de communication virtuelle nécessitée par les circonstances, il explique les limites de cette modalité et les conditions de son intervention.
III-7 Discernement
Le praticien en psychothérapie relationnelle définit ses limites propres compte tenu de sa formation et de ses expériences. Il n’est jamais tenu de s’engager dans un processus de soins psychothérapiques.
III-8 Orientation
Quand les demandes ne relèvent pas de sa compétence, le praticien en psychothérapie relationnelle oriente les personnes vers des professionnels susceptibles de répondre aux questions ou aux situations qui lui ont été soumises.
III-9 Évaluation
Le praticien en psychothérapie relationnelle ne donne pas de diagnostic ou d’avis à la personne qui le consulte concernant des tiers qu’il ne connaît pas, sauf s’il estime cet avis nécessaire au processus psychothérapique mais avec discernement et à titre de simple hypothèse fondée sur les dires de la personne. Cette disposition ne s’applique pas aux séances de supervision.
IV -Responsabilité
IV-1 Responsabilité et autonomie
Outre les responsabilités civiles et pénales de tout citoyen, le praticien en psychothérapie relationnelle a une responsabilité professionnelle. Dans le cadre de sa compétence professionnelle, il décide et répond personnellement du choix et de l’application des méthodes et techniques qu’il met en œuvre et des avis qu’il formule.
IV-2 Situations de droit commun
Le praticien en psychothérapie relationnelle ne peut se prévaloir du processus psychothérapique pour cautionner un acte illégal. Il est soumis aux obligations de la loi commune. Dans les cas de situations pouvant porter atteinte à l’intégrité psychique ou physique de la personne qui le consulte ou d’un tiers, il évalue avec discernement la conduite à tenir en tenant compte des dispositions légales en matière de secret professionnel, d’assistance à personne en danger et d’obligation de dénonciation de crime.
IV-3 Indépendance professionnelle
Le praticien en psychothérapie relationnelle ne doit pas accepter de conditions de travail qui porteraient atteinte à son indépendance professionnelle et, notamment, qui l’empêcheraient d’appliquer le présent code de déontologie.
IV-4 Contrôleurs, superviseurs, formateurs
Le praticien en psychothérapie relationnelle exerçant des contrôles, supervisions ou activités didactiques doit se faire dûment identifier par ses institutions professionnelles.
IV-5 Règles de confraternité
Aucune pratique ni institution ne pouvant prétendre à l’exclusivité ou à la primauté sur les autres dans la compétence psychothérapique, le praticien en psychothérapie relationnelle est tenu au devoir de réserve et de respect envers ses confrères et envers les autres professionnels de la psychothérapie.
IV-6 Utilisation du nom
Nul n’a le droit dans un texte informatif ou publicitaire, d’utiliser les nom et titres d’un autre praticien sans son autorisation expresse.
IV-7 Honoraires
Chaque praticien en psychothérapie relationnelle en exercice libéral fixe lui-même ses honoraires en conscience. Il informe les personnes qui le consultent de leur montant dès les premiers entretiens et s’assure de leur accord.
IV-8 Locaux
Le praticien en psychothérapie relationnelle doit pouvoir disposer pour son exercice professionnel de locaux convenables permettant de préserver la confidentialité et disposant de moyens techniques suffisants en rapport avec la nature de ses actes professionnels et des personnes qui le consultent.
IV-9 Première séance
Lors de la séance préalable de diagnostique, le psychopraticien explique au client les termes du contrat de coaching incluant le présent code.
Il s’assure de la bonne compréhension de celui-ci par le client.
Le contrat comprend entre autre les dispositions financière, logistique et confidentialité.
V –ENGAGEMENT DU CLIENT
Le couple s’engage à travailler avec la coache dans le respect de sa profession et de sa personne.
Le couple est responsable de son travail et de toutes les conséquences sur eux-mêmes.
Le coaching étant un processus de développement personnel, professionnel et amoureux, le couple à la responsabilité des décisions prises. En aucun cas, la coache ne peut être tenue pour responsable des décisions des clients pendant la période du coaching ou ultérieurement.
Le couple est prévenu, qu’il devra respecter les heures et les dates de rendez-vous.
Tout retard de plus de 30 minutes annule la séance qui sera considérer comme due.
En cas d’impossibilité de faire une séance il est impératif de prévenir la coache au moins 48h à l’avance. Dans le cas contraire la séance sera due.
La coache s’engage de son côté au même respect de cette règle.
Le client s’engage à être acteur de son processus de coaching, afin qu’il puisse définir sa propre stratégie d’action pour atteindre son objectif. Il s’engage à prendre ses propres décisions, et à mettre en place ses propres solutions afin de pouvoir être en accord avec lui-même.
Le client a pris connaissance qu’un coach n’est ni un conseiller, ni un formateur.
Devoir du coach
La coache / Psychopraticienne se fond sur des connaissances et expériences professionnelles pour comprendre les attentes du client, défini avec lui un programme personnel lors de l’entretien de centralisation et l’accompagne sur un processus personnel et s’adapte à ses besoins.
Développement personnel :
La coache met à disposition du client un processus dynamique de questionnement plus développé qui permettra d’activer les leviers nécessaires à tout processus de changement : connaissance de soi, confiance en soi et motivation.
Le client atteste qu’il est prêt à s’engager pleinement dans ce processus.
Phytothérapie et Lithothérapie
L’approche en phytothérapie et en lithothérapie est guidée par des principes éthiques et déontologiques fondamentaux qui régissent la pratique professionnelle.
« Je m’engage à respecter les valeurs et les normes de conduite les plus élevées afin de garantir un environnement de traitement sûr, confidentiel et bienveillant pour tous mes clients.
Je m’engage à :
- Respecter la dignité, l’autonomie et les droits de tous mes clients, sans distinction de race, de sexe, d’orientation sexuelle, de religion, d’âge ou de handicap.
- Assurer un environnement thérapeutique sûr, confidentiel et non-jugeant pour tous mes clients.
- Je m’abstiens de tout comportement inapproprié ou de toute forme d’abus de pouvoir envers mes clients.
- Pratiquer dans le respect des limites de mes formations et de mes compétences professionnelles.
- Me conformer aux lois et règlements en vigueur régissant ma profession et ma pratique.
- Entretenir une relation de confiance et de transparence avec mes clients en communiquant clairement sur les limites de la confidentialité, les coûts des services, les modalités de traitement et les limites de ma responsabilité professionnelle.
- Entretenir une formation continue régulière afin de maintenir mes compétences et mon expertise professionnelles à jour.
Je suis fière de me conformer aux plus hautes normes de conduite éthique et déontologique en phytothérapie et en lithothérapie, et suis déterminée à fournir des soins professionnels et bienveillants à tous mes clients. »
Je ne suis pas médecin, la phytothérapie et la Lithothérapie sont des méthodes complémentaires et ne remplacent pas une consultation médicale ni un traitement médical.
Je n’hésiterais pas à vous recommander à un autre confrère ou professionnel si la problématique ne relève pas de ma compétence.